"L'immigration, une chance pour la France". Ce scandaleux slogan de la propagande mondialiste qu'on inculque à nos enfants dans les écoles dès le plus jeune age, avec l'idéalisation d'une France multiculturelle et multiethnique est un des plus monstrueux mensonges jamais diffusés au sein d'un peuple.
Demandez à ce qui reste d'Amerindiens ce qu'ils pensent de l'immigration! Demandez aux Palestiniens parqués dans leurs homelands si l'immigration fut "une chance" pour eux!
Non! L'immigration n'a jamais été une chance pour aucun peuple. Bien au contraire!
Et elle n'a jamais été une chance non plus pour les pays d'origine des migrants.Ni la Sicile, ni l'Irlande, d'où partirent vers le "nouveau monde" d'énormes vagues migratoires n'ont profité de cette hémorragie de leurs forces vives. Leur sous-développement s'en est au contraire accru.
L'immigration de masse en Europe est une monstruosité et tous les arguments en sa faveur ne sont qu'un tissus de mensonges.
On fait croire à nos compatriotes crédules et généreux que les immigrants sont des malheureux qui fuient la misère dans leur pays. C'est faux: Un "passage", réussi ou raté coute entre 1500 et 2000 euros. Ce ne sont pas les plus misérables, ceux dont les revenus mensuels sont inférieurs à dix ou vingt euros par mois qui peuvent débourser un tel pactole. Ceux-là resteront crever sur place. Ceux qui peuvent faire cette dépense sont de deux sortes: ceux qui en ont les moyens et ceux qui n'en ont pas les moyens mais qui se "débrouillent" pour les trouver, notammment auprès des mafias locales, en se mettant à leur service. Le vol et le traffic rapportent plus à Paris ou à Lyon qu'à Dakar ou Abidjan et les mafias ont déjà installé depuis longtemps leurs antennes chez nous. Non seulement l'émigration entretient et même renforce la corruption dans ces pays, mais en plus, elle anéantit toute possibilité de progrès et de développement. Quand la jeunesse d'un pays est fascinée par la perspective de l'émigraton, elle ne fera rien de positif sur place. Demandez aux enfants des villages du Burkina, qui sont sensés être l'avenir du pays, qui voient leurs "tontons" rentrer au pays pour les vacances, les valises remplies de cadeaux pour tout le monde ce qu'ils voudraient faire plus tard. Ils vous répondront: "émigrer en France".
C'est un cercle on ne peut plus vicieux.
On dit aussi: "on a besoin des immigrés pour faire les travaux que les Français ne veulent pas faire". Mensonge! En vérité, les Français sont prêts à faire tous les travaux. Par contre, ils ne sont pas disposés à faire n'importe quoi à n'importe quel prix. Travailler sur un chantier, l'hiver dans le froid et la boue, l'été sous un soleil accablant, à faire un travail rude, pénible, avec des conditions de sécurités tout juste minimales pour à peine le SMIC, non, c'est vrai, ça ne les tente pas. Nos Tartuffes immigrationistes ne veulent tout simplement pas admettre que la pénibilité, la dureté et la saleté d'un travail, ça se paye. Pourquoi un homme accepterait-il un travail sale et pénible, payé au smic, alors que pour le même tarif on trouve tout un tas de petits boulots bien pépères, au chaud l'hiver et au frais l'été, et pas fatigants. Alors si les employeurs ne trouvent pas de candidats manœuvres au smic, il faut tout simplement qu'ils fassent une meilleure offre. Et si on ne trouve personne à moins de 3000 euros par mois, c'est que c'est le tarif! C'est la loi du marché, si chère à nos "libéraux". Sauf si l'on triche en laissant entrer des foules d'immigrants prêts à signer n'importe quel contrat, passeport pour la carte de séjour et l'ncrustation définitive.
Une autre objection apparaît alors: "Mais comment nos industries pourraient-elles rester compétitives avec de tels salaires?!!". L'objection pourrait à première vue sembler recevable, sauf que… les "industries" qui usent et abusent du recours à l'immigration, notamment clandestine, sont précisément celles qui sont le moins exposées à la concurrence internationale: bâtiment, restauration, entreprises de nettoyage, etc. Ce sont aussi bien souvent les plus rétrogrades.
La vérité est à chercher dans les déclarations sans ambages de feu le président Pompidou: "Il faut favoriser l'immigration pour faire pression à la baisse sur les salaires ouvriers français". On reconnait bien là le cynisme d'une certaine droite ploutocratique française.
Dès lors, on pourrait s'étonner que la gauche et l'extrème gauche soutiennent une telle horreur. Ce serait oublier que la gauche ne vit et ne prospère que grace à la misère du peuple. C'est son fond de commerce: On stigmatise la cupidité du patronat et du capitalisme et on favorise en sous-main les conditions d'une plus grande spoliation du peuple pour mieux en dénoncer les effets. Le désespoir et le mécontentement rapportent des voix et, pour les plus radicaux, laisse entrevoir l'espoir du "grand soir".
Dans le même temps, on s'oppose aux délocalisations qui pourtant seraient le moyen le plus efficace de développer le Tiers monde et notamment l'Afrique. Plutôt que de proner une "immigration choisie", avec des "quotas", on ferait mieux d'étudier les conditions de "délocalisations choisies" en direction de pays d'Afrique avec lesquels on aurait signé des pactes de codéveloppement. Mais hélas,depuis plus de quarante ans, nos dirigeants de droite comme de gauche s'ingénient à faire systématiquement le contraire de ce qu'il faudrait faire.
Dans les années cinquante, les industriels Nippons ont pressé leur gouvernement d'ouvrir les portes du pays à l'immigration des pays pauvres voisins pour faire face à leur besoins croissants de main d'œuvre. Mais les gouvernements successifs s'y sont toujours opposés et ont invité les industriels à délocaliser leurs usines voraces en main d'œuvre non qualifiée. Le résultat de cette sage politique fut le développement ultra-rapide de la Corée, de Hong-Kong, de Taiwan et de Singapour, lesquels délocalisent aujourd'hui à leur tour vers la Chine, l'Indonésie, la Malaisie, la Thailande, les Philippines, etc. Autant de pays qui se developpent avec une rapidité innouie… Tandis que l'Afrique, notre voisine, stagne ou régresse, avant de nous envahir complètement et de nous entrainer dans le maeltröm de sa paupérisation. Et l'autre résultat, c'est que l'immense conurbation de Tokyo-Osaka est une des villes les plus propres et les plus sures du monde. Le taux de criminalité au Japon est un des plus faibles du monde. En comparaison, les villes américaines, y compris aux USA qu'on nous présente comme le summum de la civilisation, sont de véritables coupe-gorges. C'est l'effet "melting pot"; en fait une conjonction de communautés ethniques en perpétuelle concurrence, règlant leurs comptes par mafias interposées, dans un climat de violence endémique, bien loin des rèves sucrés du "vivre ensemble" de nos idéologues.
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